martine rey

martine rey

La rencontre avec le Japon m’a fait prendre conscience de mon intimité avec cette culture, comme une «part» japonaise en moi  et la laque végétale, urushi,  m’a offert la possibilité de parler de ces mémoires enfouies, ces images oubliées. Elle imprègne ma création, se pose et se re-pose, s’imprime, coule, consolide, guérit, s’infiltre, s’apprivoise et se lustre…..